Parole à Eddy Bellais :
Quelques mots de présentation ?
« Eddy Bellais, 20 ans, je suis originaire de Takapoto du côté de ma mère Erena Bellais. Je vis à Tipaerui depuis mon enfance, chez mon tonton Roland. Pour l'instant, je suis sans emploi, je suis toujours à la recherche. »
Pourquoi la boxe thaï plutôt qu’autre chose ?
« Le muay thaï c’est de famille, on a grandi dedans et c’est notre passion. Mon tonton Roland Tiaipoi qui aujourd'hui est mon coach, pratiquait ce sport depuis sa jeunesse. Puis il a entraîné son fils Tinitua Tiaipoi qui est devenu champion et aujourd'hui je prends la relève. On a ça dans le sang. »
Ton parcours dans ce sport ?
« Quand j’ai débuté le muay thaï, j’ai commencé par du « light contact » puis j’ai persévéré et je suis passé en professionnel en 2015, lors de mon premier combat PRO en Nouvelle Zélande. Par la suite, j’ai pu me mesurer à différents adversaires néo-zélandais et j’ai gagné ma première ceinture de champion d'Océanie. »
« En juin 2017, lors d'une soirée que nous avons organisé à Tahiti, j’ai gagné le titre de champion du Pacifique Sud, avec la ceinture WKA (world kick boxing). Puis au Aito Nui, le championnat de Polynésie, j’ai gagné ma troisième ceinture. Au total, j’ai trois ceintures dont deux à l’international. »
« En octobre, j’ai participé aux Asian Games au Turkménistan où j’ai combattu contre le numéro 1 mondial, un Thaïlandais. Je n'ai pas ramené de victoire mais ça a été une belle expérience pour moi. Je reviens d'Australie où j’ai gagné le trophée « Knees of Fury » contre Tom Wilkins, un grand champion. A présent, je me prépare pour mon prochain combat au Vanuatu le mois prochain. »
Quelques mots de présentation ?
« Eddy Bellais, 20 ans, je suis originaire de Takapoto du côté de ma mère Erena Bellais. Je vis à Tipaerui depuis mon enfance, chez mon tonton Roland. Pour l'instant, je suis sans emploi, je suis toujours à la recherche. »
Pourquoi la boxe thaï plutôt qu’autre chose ?
« Le muay thaï c’est de famille, on a grandi dedans et c’est notre passion. Mon tonton Roland Tiaipoi qui aujourd'hui est mon coach, pratiquait ce sport depuis sa jeunesse. Puis il a entraîné son fils Tinitua Tiaipoi qui est devenu champion et aujourd'hui je prends la relève. On a ça dans le sang. »
Ton parcours dans ce sport ?
« Quand j’ai débuté le muay thaï, j’ai commencé par du « light contact » puis j’ai persévéré et je suis passé en professionnel en 2015, lors de mon premier combat PRO en Nouvelle Zélande. Par la suite, j’ai pu me mesurer à différents adversaires néo-zélandais et j’ai gagné ma première ceinture de champion d'Océanie. »
« En juin 2017, lors d'une soirée que nous avons organisé à Tahiti, j’ai gagné le titre de champion du Pacifique Sud, avec la ceinture WKA (world kick boxing). Puis au Aito Nui, le championnat de Polynésie, j’ai gagné ma troisième ceinture. Au total, j’ai trois ceintures dont deux à l’international. »
« En octobre, j’ai participé aux Asian Games au Turkménistan où j’ai combattu contre le numéro 1 mondial, un Thaïlandais. Je n'ai pas ramené de victoire mais ça a été une belle expérience pour moi. Je reviens d'Australie où j’ai gagné le trophée « Knees of Fury » contre Tom Wilkins, un grand champion. A présent, je me prépare pour mon prochain combat au Vanuatu le mois prochain. »
Nouvelle belle victoire à l'international pour Eddy Bellais
Quelques mots sur le combat de ce week end ?
« Au début du combat de 3 x 3 minutes, j'étais pas trop à l’aise, ce n’est qu’au deuxième round que je me suis senti mieux, j’ai alors pu travailler toutes les techniques de muay thaï avec les poings, les pieds, les genoux, les coudes, les saisies-projection, j’ai pu sortir toute mon artillerie. Le moment fort a été lors de la deuxième reprise, j'ai pu travailler pour une fois avec mes coudes, il a saigné du visage, cela a contribué à ma victoire aux points. »
Beaucoup s’intéressent au MMA, pas toi ?
« La boxe thaï, c’est de famille, on a ça dans le sang. Je pratique ce sport depuis mes 13 ans. Le MMA ce n’est pas trop mon sport. Cela ne me plait pas d’aller combattre au sol, je préfère de loin le pieds-poings. »
Tes objectifs pour 2018 ?
« L'année prochaine, je compte partir en Thaïlande pour un prochain combat. J'aimerais m'entraîner quelques temps là-bas pour acquérir plus de techniques et devenir plus professionnel. Mon objectif est de pousser les jeunes à pratiquer ce sport, de leur montrer que l'on peut se battre dignement et avec du respect plutôt que de se faire mal bêtement comme ça dans la rue et ne rien gagner en retour. J'aimerais aussi faire connaître le muay thaï partout en Polynésie. »
Dernier mot, remerciement ?
« Je voudrais remercier mon tonton et coach Roland Tiaipoi de m'avoir mis dans ce sport, le président de la fédération Roland Darrouzes pour son aide, ma mère, mes sœurs et mon petit frère pour être toujours là pour moi, ma famille, mes amis et tout Tipaerui pour être toujours derrière moi pour me soutenir, pour leur confiance en moi. Un grand merci aussi a mes sponsors. »
« Au début du combat de 3 x 3 minutes, j'étais pas trop à l’aise, ce n’est qu’au deuxième round que je me suis senti mieux, j’ai alors pu travailler toutes les techniques de muay thaï avec les poings, les pieds, les genoux, les coudes, les saisies-projection, j’ai pu sortir toute mon artillerie. Le moment fort a été lors de la deuxième reprise, j'ai pu travailler pour une fois avec mes coudes, il a saigné du visage, cela a contribué à ma victoire aux points. »
Beaucoup s’intéressent au MMA, pas toi ?
« La boxe thaï, c’est de famille, on a ça dans le sang. Je pratique ce sport depuis mes 13 ans. Le MMA ce n’est pas trop mon sport. Cela ne me plait pas d’aller combattre au sol, je préfère de loin le pieds-poings. »
Tes objectifs pour 2018 ?
« L'année prochaine, je compte partir en Thaïlande pour un prochain combat. J'aimerais m'entraîner quelques temps là-bas pour acquérir plus de techniques et devenir plus professionnel. Mon objectif est de pousser les jeunes à pratiquer ce sport, de leur montrer que l'on peut se battre dignement et avec du respect plutôt que de se faire mal bêtement comme ça dans la rue et ne rien gagner en retour. J'aimerais aussi faire connaître le muay thaï partout en Polynésie. »
Dernier mot, remerciement ?
« Je voudrais remercier mon tonton et coach Roland Tiaipoi de m'avoir mis dans ce sport, le président de la fédération Roland Darrouzes pour son aide, ma mère, mes sœurs et mon petit frère pour être toujours là pour moi, ma famille, mes amis et tout Tipaerui pour être toujours derrière moi pour me soutenir, pour leur confiance en moi. Un grand merci aussi a mes sponsors. »