PAPEETE, le 10 mars 2017 - La direction de l'environnement de la Polynésie française a organisé ce vendredi matin la restitution des travaux concernant la stratégie biodiversité 2030. Les différents acteurs qui ont participé aux ateliers et le ministre de l'Environnement, Heremoana Maamaatuaiahutapu, étaient à cette réunion.
En 2006, l’engagement de la Polynésie française dans le cadre d’une stratégie nationale pour la biodiversité biologique, initié par la France en 2004, a abouti à un document intitulé « Stratégie pour la biodiversité de Polynésie française », dans lequel des axes prioritaires ont été définis en matière notamment de biodiversité marine et terrestre.
En outre, récemment, en 2010, à Nagoya, un plan stratégique pour la biodiversité 2011-2020, plus ambitieux, a été adopté par les parties de la convention sur la diversité biologique.
En 2006, l’engagement de la Polynésie française dans le cadre d’une stratégie nationale pour la biodiversité biologique, initié par la France en 2004, a abouti à un document intitulé « Stratégie pour la biodiversité de Polynésie française », dans lequel des axes prioritaires ont été définis en matière notamment de biodiversité marine et terrestre.
En outre, récemment, en 2010, à Nagoya, un plan stratégique pour la biodiversité 2011-2020, plus ambitieux, a été adopté par les parties de la convention sur la diversité biologique.
UN NOUVEAU PLAN D’ACTION
S’inscrivant dans cette démarche, le ministère de l’Environnement a donc souhaité effectuer une mise à jour de la stratégie pour la biodiversité. Entre décembre 2016 et février 2017, une quarantaine d’acteurs (associations, communes, services administratifs) ont ainsi participé à des ateliers de concertation, afin de rendre leurs avis et expériences dans la préservation de l’environnement et de la biodiversité polynésienne et ce afin d’élaborer une stratégie actualisée portant jusqu’à l’horizon 2030.
Garantir la préservation du cadre de vie polynésien et la biodiversité dans un contexte de changement climatique, garantir la durabilité des activités économiques et urbaines prioritaires en minimisant leurs impacts sur l’environnement et préserver la biodiversité exceptionnelle et le patrimoine naturel polynésien, telles sont notamment les problématiques qui ont été abordées lors des ateliers. Au terme de ces ateliers, le ministère a pu examiner la pertinence des propositions faites. Accentuer la communication auprès de la population, multiplier et structurer les moyens de contrôles, sont, entre autres, des points sur lequel il est souhaitable d’œuvrer dès à présent et jusqu’à l’horizon 2030.
Garantir la préservation du cadre de vie polynésien et la biodiversité dans un contexte de changement climatique, garantir la durabilité des activités économiques et urbaines prioritaires en minimisant leurs impacts sur l’environnement et préserver la biodiversité exceptionnelle et le patrimoine naturel polynésien, telles sont notamment les problématiques qui ont été abordées lors des ateliers. Au terme de ces ateliers, le ministère a pu examiner la pertinence des propositions faites. Accentuer la communication auprès de la population, multiplier et structurer les moyens de contrôles, sont, entre autres, des points sur lequel il est souhaitable d’œuvrer dès à présent et jusqu’à l’horizon 2030.