Des hauts et des bas
Raihau Maiau est étudiant à Toulouse et pratique le saut en longueur. Il avait obtenu en juillet dernier le titre de champion de France Elite avec un saut à 8M22. Le saut était « trop venté », ce qui ne lui avait pas permis de se qualifier pour les championnats du monde à Londres. Ce titre de champion de France Elite reste un exploit extraordinaire pour ce jeune Tahitien de 25 ans qui a dû passer par les affres de la blessure.
Raihau Maiau s’était sectionné le talon d’Achille lors d’une chute à vélo en 2013. Le tendon mal soigné avait ensuite lâché à l’entrainement en avril 2016, ce qui lui avait valu une année de convalescence et de doutes. Mais il en fallait plus pour que Raihau renonce. Il a pu revenir au top lors du championnat de France Elite en juillet dernier et il a poursuivi dans sa lancée en remportant l’or également lors des Jeux de la francophonie, fin juillet, avec l’équipe de France.
Raihau Maiau est étudiant à Toulouse et pratique le saut en longueur. Il avait obtenu en juillet dernier le titre de champion de France Elite avec un saut à 8M22. Le saut était « trop venté », ce qui ne lui avait pas permis de se qualifier pour les championnats du monde à Londres. Ce titre de champion de France Elite reste un exploit extraordinaire pour ce jeune Tahitien de 25 ans qui a dû passer par les affres de la blessure.
Raihau Maiau s’était sectionné le talon d’Achille lors d’une chute à vélo en 2013. Le tendon mal soigné avait ensuite lâché à l’entrainement en avril 2016, ce qui lui avait valu une année de convalescence et de doutes. Mais il en fallait plus pour que Raihau renonce. Il a pu revenir au top lors du championnat de France Elite en juillet dernier et il a poursuivi dans sa lancée en remportant l’or également lors des Jeux de la francophonie, fin juillet, avec l’équipe de France.
Trois médailles en deux mois
Cette fois-ci, Raihau Maiau participait aux Universiades, à Taipei, une compétition qui réunit les meilleurs athlètes universitaires au monde. Raihau termine 3e derrière un sauteur tchèque et un sauteur algérien. Il arrive devant un sauteur australien, un brésilien et un coréen. Europe, Asie, Afrique, Amérique du Sud, Australie, plusieurs continents étaient représentés et Raiau Maiau a su tirer son épingle du jeu grâce à ses performances : 7M91 (-0,1)
Raihau Maiau, licencié au club CA BALMA, concourait pour la deuxième fois en deux mois avec le maillot de l’équipe de France. Il est coaché par Dominique Hernandez membre de l'équipe technique nationale sur ce Mondial Universitaire qui, malgré les moments difficiles que Raihau a vécu, y a « toujours cru ». Après quasiment un an de « galère », Raiau Maiau s’offre une fin de saison de rêve.
Raihau Maiau vient d’obtenir un master 1 Staps en entrainement sportif. Il espère revenir en Polynésie française après sa carrière sportive. Son but ? Les Jeux Olympiques de Tokyo en 2020 où il pourrait représenter la France et la Polynésie. SB
Cette fois-ci, Raihau Maiau participait aux Universiades, à Taipei, une compétition qui réunit les meilleurs athlètes universitaires au monde. Raihau termine 3e derrière un sauteur tchèque et un sauteur algérien. Il arrive devant un sauteur australien, un brésilien et un coréen. Europe, Asie, Afrique, Amérique du Sud, Australie, plusieurs continents étaient représentés et Raiau Maiau a su tirer son épingle du jeu grâce à ses performances : 7M91 (-0,1)
Raihau Maiau, licencié au club CA BALMA, concourait pour la deuxième fois en deux mois avec le maillot de l’équipe de France. Il est coaché par Dominique Hernandez membre de l'équipe technique nationale sur ce Mondial Universitaire qui, malgré les moments difficiles que Raihau a vécu, y a « toujours cru ». Après quasiment un an de « galère », Raiau Maiau s’offre une fin de saison de rêve.
Raihau Maiau vient d’obtenir un master 1 Staps en entrainement sportif. Il espère revenir en Polynésie française après sa carrière sportive. Son but ? Les Jeux Olympiques de Tokyo en 2020 où il pourrait représenter la France et la Polynésie. SB